monde russe en Syrie (calligraphie sur peau humaine) |
Gabriella
Aujourd’hui, elle dit ressentir de la peur à la seule vue d’un homme blanc en tenue militaire.
Gabriella a rencontré le monde russe (rousski mir), il est venu chez elle, à Bangui.
Et non, pour le monde russe Gabriella n'est pas un être humain. Le nom de ces mercenaires russes - "Wagner" - vient du sobriquet de son fondateur, un officier du GRU, qui apprécie la musique du compositeur allemand et qui en partage les idées racistes.
« Je pensais que les Russes étaient là pour nous secourir », répète-t-elle.
Cette phrase se dit beaucoup au Donbass depuis 2014, elle est de plus en plus populaire en Crimée.
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