Andreï Sakharov, c'est le gars qui reste assis lorsque se fait entendre l'hymne ignoble de l'Union soviétique.
Seul. Assis. Digne.
Seul. Assis. Digne.
Une révolution à lui tout seul.
Il a raison, ils ont tous tort.
Seul. Digne. Vainqueur.
Andreï Sakharov.
L'un des trente six Justes russes de son temps.
Je veux dire le Prix Sakharov, ce n'est pas la légion d'honneur de la république sans vergogne, c'est n'est pas que de la bimbeloterie, pas qu'un accessoire de mode, autre chose qu'une décoration.
Mais peut-être pas. Piotr Pavlensky a bien reçu le Prix Vaclav Havel, pour se le voir retirer pour mauvaise conduite.
Et dire que Faurisson est mort dans la plus grande indifférence...
RépondreSupprimerJe ne vois pas bien le rapport avec le sujet.
SupprimerCela dit, un assassin de la mémoire qui tombe dans l’oubli... cela a quelque chose d’étrangement cohérent, non ?