Peut-être utile aux traducteurs de français vers l’oukraïnien.
Lorsque sur France Inter vous entendez :
« On ne va tout de même pas laisser ces apprentis
voleurs de poule d’Ukrainiens aller au Brésil à notre place, non de Dieu !
Un Ukrainien c’est bien trop laid pour participer à une compétition sportive
retransmise dans le monde entier. (...)
Puis, je vous rappelle, les amis, que si ces
sauvages vont au Brésil – ça va faire monter la cote de la prostituée ukrainienne.
Finie la passe à 50 euros, ça va coûter des fortunes. On aura plus de quoi s’les
payer. (...)
Allez les gars, merde quoi, mettez-leurs une raclée à ces ploucs d’Ukrainiens !
Si vous ne le faite pas pour l’honneur de la Patrie, faite-le pour la stabilité
des prix sur nos trottoirs. »
Lorsque sur France Culture vous entendez (je ne
sais comment rendre par écrit le ton supérieur de l’homme blanc parlant de nègres, utilisé dans la circonstance) :
« La
souveraineté de l'état ukrainien... mais a-t-elle jamais existée ? »
Il s’agit bien de « radios de service public »,
mais « public » ici ne doit pas être traduit par ГРОМАДСЬКИЙ (citoyen, civique),
comme dans ГРОМАДСЬКЕ телебачення
(Hromadske.tv)
ou ГРОМАДСЬКЕ радіо
(Hromadske radio), mais par ДЕРЖАВНИЙ (d’Etat).
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