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mardi 19 février 2013

Septante-cinq ans depuis la naissance de Vassyl Stous...


Il y a un peu plus d’un mois. Le 8 janvier. Ou bien le 6. En France rien, bien sûr.
En Oukraïne, à Kyïv, à l’Université Chevtchenko, le spectacle « Le cercle de Stous ». Monté une vingtaine de fois déjà, un peu partout dans le pays. Au départ, en 2009, le projet de Serhiy Proskournya et de Dmytro Stous était d’écrire un opéra rock... Ce fut finalement ce spectacle. Bon.
On y entend les sœurs Telnyouk.
Bien les sœurs Telnyouk. (Vous pouvez les écouter par exemple , ou .)

 
Quelqu’un lui avait dit un jour : « Il faut apprendre à faire des compromis, Vassyl. »
Il avait répondu : « Je ne veux pas apprendre cela. Je veux apprendre à mourir avec dignité. »
 
Un type antisocial, Stous. Un maître gnostique. Un Valentin, un Basilide.
 
 

Lorsque devait paraître le « Recueil Stous » dans la revue l’Intranquille j’ai reçu les corrections proposées par Maria Malantchouk aux traductions que nous avions faites avec Annie et qui devaient voir le jour à cette occasion.


 




J'attire votre attention sur une remarque faite à propos de la note sur Mykola Kostomarov : 


Vu que dans l’esprit du lecteur français, nationaliste équivaut à peu près à fasciste, faut-il laisser ce terme ?
 
Bonus :
Vassyl Stous lit l’un des poèmes du cycle « Kostomarov à Saratov » :


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