Тraductions de l'oukraïnien :
Vassyl Stous, poésie, Continent (Paris)
1989
Myroslav Marynovytch, L’Evangile de
l’Idiot, Continent (Paris)
1989
Emma Andievska, Djalapita, Terminus (Toronto)
1989
Mykola Khvylovy, La Route et l’Hirondelle, nouvelles, Editions du Rocher, Monaco
1993
Youry Tarnavsky, poésie, La Revista (Marseille)
1994
Oksana Zaboujko, L’odeur humide et moisie de la cave, dans « Ma
Moldavie – la Moldavie dans le dialogue culturel de l’Europe », Die
1996
Vassyl Stous, trad. avec Anne Renoue, dans « Recueil Vassyl Stouss », L'Intranquille (N.D. de Bondeville)
1999
Vassyl Stous, Extraits des Œuvres Complètes, Librairie Oukraïnienne Éphémère, Paris
1999
* Vassyl Stous, poésie, Diagonales
Est-Ouest (Lyon)
1999
Oleksandr Irvanets, Petite pièce sur la
trahison pour une actrice, Librairie Oukraïnienne Éphémère, Paris
1999
* V. Herassymiouk, O. Irvanets,
L. Kysseliov, O. Lycheha, V. Medvid, V. Neborak, I. Rymarouk, V. Stous, dans
« Petite anthologie de la poésie ukrainienne », La Parole Ukrainienne (Paris)
1999
1933, l’année noire. Témoignages sur la famine en Ukraine, aux cotés de Kaléna Houzar-Uhryn (†)
et de Volodymyr Bojczuk, Albin Michel, Paris
2000
Emma Andievska, Djalapita,
dans « Anthologie de la littérature ukrainienne du XI au XXème
siècle », Editions Olena Teliha, Kyïv
2004
* Taras Prokhasko, C’est ainsi, dans
« Nouvelles d’Ukraine », Magellan & Cie, Paris
2013
Serhiy Jadan, Les dictionnaires au service
de l’église. Chat Blanc (Alais)
2014
* Mykola Khvylovy, Moi, romantica,
nouvelle, La Règle du jeu (Paris), n°57
2015
L'exacte similitude de cette bibliographie avec celle publiée ici même le 1 juillet 2015, a pu faire penser à certains que j'étais déjà mort. Si les détrousseurs de cadavres sont à l’œuvre, c'est que cadavre il y a. Cela paraît logique. (En mettant de côté l'aspect délictueux de la chose.) Et l’idée de ma mort consommée semble même faire consensus.
L'exacte similitude de cette bibliographie avec celle publiée ici même le 1 juillet 2015, a pu faire penser à certains que j'étais déjà mort. Si les détrousseurs de cadavres sont à l’œuvre, c'est que cadavre il y a. Cela paraît logique. (En mettant de côté l'aspect délictueux de la chose.) Et l’idée de ma mort consommée semble même faire consensus.
Cinq ans à ne pas s'habituer à l'état de fantôme. C'est une expérience curieuse.
Je voulais me
faire le cadeau d'un petit planétarium, d'une anthologie poétique des quelques-uns
qui ont gravité dans la constellation du Groupe de New York, et de marquer de
quelque manière la présence de Emma Andievska, "celle qui crée et qui
détruit les univers." Et notamment en présentant quelques œuvres de
Aristodemos Likhnos, Khalid Khatami, Warubu Bdrum'bgu, ses hétéronymes. Mais
c'est déjà le 1 juillet. Tant pis.
Sans doute attendons nous une résurrection... "Lazare, sors! et le.mort sortit(...) on connaît la suite. Il.faut juste trouver un nazaréen chevelu avec une tendance à marcher sur l'eau ou une bonne étoile. Somme toute, rien de bien miraculeux. Bien à vous.
RépondreSupprimerOn appelle ça le syndrome Casper... Mais on demande qd même à voir le corps !
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