Et quand on a devant les yeux tant de livres, d’articles,
de textes de discours injuriant, diffamant, caricaturant quiconque voulait
faire passer la vérité, vécue ou apprise, sur la souffrance et la mort en Union
soviétique, comment ne pas penser à la façon dont un Robert Faurisson parle des
témoignages des survivants des camps d’extermination ?
Alfred Grosser, Le crime
et la mémoire
Когда утверждают, что Украину опустошает голод, позвольте мне просто пожать плечами. *
Une vielle tradition française. Monsieur Edouard Herriot reprend ici l'argument de Monsieur Edmond Abot : "Non pas que nous ayons la pensée de réclamer en Russie la liberté de la presse telle que nous l’avons en France ou qu’elle existe en Angleterre et en Italie, non. Chaque pays a ses mœurs dont il faut tenir compte."
Il s'agissait alors d'une littérature proscrite, il s'agit maintenant de complicité de crime contre l'humanité. La France éternelle...
Ces
propos que Herriot renouvellera en 1934 dans Orient permettent à
l’ambassadeur de France à Moscou de télégraphier à Joseph Paul-Boncour, alors
ministre des Affaires étrangères, que les « rumeurs entendues n’étaient
que des racontars colportés par les ennemis du régime ».
Pauline Peretz, La
Grande Famine ukrainienne de 1932-1933 : essai d’interprétation.
...
...permettez-moi de hausser les épaules.
(Haussement d'épaules)
(Haussement d'épaules)
(Haussement d'épaules)
(Haussement d'épaules)
(Haussement d'épaules)
(Haussement d'épaules)
(Haussement d'épaules)
Permettez-moi de hausser les épaules.
Monsieur Edouard Herriot, Le Matin du 18 septembre 1933. Il y a 80 ans.
80 років по тому, сьогодні.
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* Не виходить мені цього мерзотника українською перекласти, то нехай вже буде так.
Фотографии голодающего Поволжья 20-х никакого отношения к Украине не имеют.
RépondreSupprimerФейкометчики, как же вы мечтаете похоронить украинцев