Les Soviétiques, reprenant à leur compte
la politique tsariste d’avant 1914, attendent des journaux stipendiés qu’ils
influent sur la diplomatie française.
Jean-Louis Panné
Humour russe : la veille du vote au Sénat français de la résolution Bozzo di Porco et Sutour lou Poucellas, la revue moscovite Courrier de Russie propose une conférence sur le thème
« L’abominable Arthur Raffalovitch, le diplomate russe qui achetait les journalistes français »
Le 7 juin 2016 à 19h00
Courrier de Russie 10/1, oul. Milioutinskaya, Moscou, métro Loubianka
... comme il est impossible d’acheter tout le monde, il faudra faire une sélection, prendre le Temps, l’Echo de Paris et le Journal, le Petit Parisien, quatre ou cinq journaux de province (la Petite Gironde, le Petit Marseillais, le Lyon Républicain, la Dépêche de Toulouse, la Dépêche de l’Est) et traiter (hélas !) aussi avec Poidatz et Théry pour le Matin et le Petit Journal.
Les possibilités sont particulièrement grandes en France. Là-bas, on peut acquérir de l’influence sur tous les journaux, et même sur des journaux aussi hostiles à notre égard que le Matin. Le seul problème, c’est l’argent.
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