Іван Кошелівець Про Подзуолі, перегук Сени з Дніпром і ще дещо.
Сучасність, № 7-8, 1971
Сучасність, № 7-8, 1971
Philippe de Suremain, ancien ambassadeur de France en Ukraine :
« Nous avons beaucoup à apprendre des Ukrainiens »
12:02 – 12:11 Philippe de Suremain : Mais, en tout cas, je peux vous assurer maintenant que la curiosité est très grande pour l’Ukraine en France.
12:11 – 12:18 Єдине, що я хочу додати, це те що цікавість до України у Франції є надзвичайно великою зараз.
Bonus :
Une excellente question de M. Edmond Huet :
J’ai un peu l’impression, étant à la croisé de nombreuses sources d’information que le gouvernement français ne prend pas pleinement conscience de ce qui se passe ici...
14:46 – 16:25 Edmond Huet : J’ai un peu l’impression, étant à la croisé de nombreuses sources d’information que le gouvernement français ne prend pas pleinement conscience de ce qui se passe ici. Par rapport à d’autres contacts que je peux avoir, par exemple avec les Britanniques, où il y a de fréquentes réunions ministérielles qui se produisent concernant le risque de conflagration majeure qui existe ici. Et nous sommes actuellement... nous ne sommes même plus proche d’une poudrière, la poudrière est déjà enflammée. Il y a de nombreuses informations qui démontrent que depuis un an les Russes agissent directement. Ces informations deviennent de plus en plus évidentes, et les Russes prennent de moins en moins de précautions pour les cacher. Que ce soit sur les réseaux sociaux ou au niveau des médias.
Et donc ma question est, étant maintenant depuis six mois hors de France. Et étant peu en contact avec les médias français, je préfère l’éviter... Maintenant je l’ai été pour des interviews téléphoniques... et je veux dire que j’ai l’impression qu’ils sont dans le même schéma traditionnel concernant l’Ukraine. A savoir que l’Ukraine, c’est une histoire qui regarde la Russie. Quelle est la position réelle du gouvernement français, de la Présidence de la République, du Ministère des Affaires étrangères, des différents cabinets qui existent, concernant l’appréciation de la situation en Ukraine, et en particulier dans l’Est de l’Ukraine ? Est-ce qu’on a vraiment conscience que nous sommes actuellement au bord d’une conflagration majeure continentale ?
Parfait diplomate, M. de Suremain ne répond pas à la question, préférant botter en touche (dans les buts de la perfide Albion).
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