samedi 16 février 2013

« Pour ta vive intelligence, lecteur. »


J’analyse ce passage dans un prochain texte. En attendant je vous propose un petit jeu. Vous allez lire les quelques phrases qui suivent, puis vous allez essayer de trouver pourquoi les auteurs sont deux imbéciles arrogants.
 

Quant à la littérature c’est encore une « terra incognita ». Il apparaît clairement que l’aventure n’a pas tenté les éditeurs français. Depuis 10 ans aucun d’entre eux ne s’est arrêté sur un titre ou sur un auteur. Cela pose question : comment la France peux rester privée de ces témoins et vigies que représentent les écrivains ? L’amorce d’une explication pourrait résider dans le problème de la langue. La langue ukrainienne dans sa souveraineté et sa légitimité en est à ses débuts, c’est en russe que les auteurs les plus éminents originaires d’Ukraine (Gogol) se sont exprimés, c’est à Saint Pétersbourg et à Moscou qu’ils allaient trouver la considération et un vrai lectorat.



Le texte date de la fin du siècle dernier. Ecrit par des Français pour des Français et publié en France.
 
Question subsidiaire : pourquoi le mot de mépris me vient à l'esprit ?

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