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samedi 14 décembre 2013

N.de T. à propos d’un possible faux-ami


Peut-être utile aux traducteurs de français vers l’oukraïnien.

Lorsque sur France Inter vous entendez :
« On ne va tout de même pas laisser ces apprentis voleurs de poule d’Ukrainiens aller au Brésil à notre place, non de Dieu ! Un Ukrainien c’est bien trop laid pour participer à une compétition sportive retransmise dans le monde entier. (...)
Puis, je vous rappelle, les amis, que si ces sauvages vont au Brésil – ça va faire monter la cote de la prostituée ukrainienne. Finie la passe à 50 euros, ça va coûter des fortunes. On aura plus de quoi s’les payer. (...)
Allez les gars, merde quoi, mettez-leurs  une raclée à ces ploucs d’Ukrainiens ! Si vous ne le faite pas pour l’honneur de la Patrie, faite-le pour la stabilité des prix sur nos trottoirs. »
Lorsque sur France Culture vous entendez (je ne sais comment rendre par écrit le ton supérieur de l’homme blanc parlant de nègres, utilisé dans la circonstance) :
« La souveraineté de l'état ukrainien... mais a-t-elle jamais existée ? » 
Il s’agit bien de « radios de service public », mais « public » ici ne doit pas être traduit par ГРОМАДСЬКИЙ (citoyen, civique), comme dans ГРОМАДСЬКЕ телебачення (Hromadske.tv) ou ГРОМАДСЬКЕ радіо (Hromadske radio), mais par  ДЕРЖАВНИЙ (d’Etat).

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